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décembre 30, 2019 By MLC

Détoxification, une méthode naturelle

Détoxification, une méthode naturelle

Cet ouvrage a pour but de vous fournir quelques informations sur la détoxication de votre organisme. Il n’est nullement écrit pour remplacer les conseils de votre médecin que vous serez bien avisé de consulter avant d’entreprendre n’importe quel régime. En principe, boire des jus de fruits et de légumes n’est certainement pas mauvais pour la santé et peut même s’avérer bénéfique. Mais, on n’est jamais trop prudent et un avis médical, lorsque notre santé est concernée, est toujours profitable.Si par exemple, vous souffrez de diabète, il est fortement indiqué de consommer plutôt des jus de légumes et d’éviter les jus de fruits qui contiennent, en règle générale, du sucre naturel. Dans cet ouvrage, nous abordons les avantages de la détoxification pour notre organisme ainsi que les différentes formes de détoxification. Nous en regardons les bienfaits et ses effets sur certaines maladies comme les douleurs articulaires, les maux de tête, les insomnies, etc. Un chapitre est consacré à la question de savoir si la détoxification pourrait prévenir le cancer. Toutefois, la détoxification n’est pas un remède miracle, mais c’est une hygiène de vie pour vous aider à rester en bonne santé.

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novembre 3, 2019 By MLC

Carmen, ma Carmen adorée…

Carmen est devenu un concept aussi bien pour des chanteurs du Bolchoï de Moscou, une association d’amateurs à New-York ou les prisonniers d’une maison d’arrêts à Rueil-Malmaison. Il est possible d’assister à la représentation d’un opéra et de s’adonner au plaisir des sens sans se poser une seule question, mais cet ouvrage est conçu pour appréhender une fraction des structures et des mécanismes inhérents à cette forme d’art complexe sans autre prétention que de soulever un coin du voile.

         Dans un grand nombre d’articles de journaux, de magazines mais également dans des reportages professionnels, Carmen est souvent mentionné comme étant l’opéra français le plus connu. Est-ce bien vrai ? Cet opéra est-il représentatif de la culture française ? Quelles sont les différences entre la nouvelle de Mérimée et l’opéra de Bizet ? Quelques-uns des éléments qui fondent cette étude.

       Ainsi Carmen personnifierait-elle l’Autre, insondable, dangereux, l’Ouvrier, la Femme fatale libre et menaçante pour la vie familiale, le Bandit. L’Autre, donc, qui doit être soumis sinon détruit ?

       Serait-ce, dans ce cas, la raison pour laquelle José, ayant commis un meurtre avoué, aurait pu être absous en s’enrôlant dans l’armée et expier de cette façon son crime en liberté jusqu’à ce que retombe les remous du scandale déclenché par son geste, alors que Carmen, pour avoir distribué une balafre à l’une de ses collègues sera envoyée en prison ? Peut-on alors conclure que José représente l’establishment et Carmen les Autres ?

       D’autre part, c’est tout autant, sinon plus, la provocation de Carmen à l’encontre de Zuniga qui la conduit linea recta en prison. Il est le commandant de son bataillon, comment pourrait-il laisser impuni le fait que Carmen le nargue devant toute la communauté ? C’est à regret qu’il prononce la sentence d’emprisonnement. Trois fois, Zuniga pose la même question à Carmen, trois fois, elle refuse de lui répondre alors qu’il aurait très certainement clos l’incident sans y attacher très grande importance. Quelques centaines de femmes ensemble dans un espace confiné, une chaleur étouffante, quelques mots vifs et les caractères s’enflamment. Pour lui, pas de quoi fouetter un chat, à plus forte raison envoyer l’une des femmes en détention. Ainsi Carmen, la personnification de l’Autre, entre-t-elle en conflit avec l’establishment représenté non pas par José mais, de toute évidence, par Zuniga.

       On peut lire Carmen comme l’opposition de deux cultures : l’une dominante et l’autre dominée. Il est également irréfutable que l’on peut expliquer l’opéra politiquement en démontant un mécanisme mettant à nu les minorités opprimées ; bien entendu, il est tout aussi possible d’en extirper une lance féministe démontrant la misogynie. Toutes ces lectures sont possibles, plausibles et peut-être même sont-elles valables. 

       Il n’en reste pas moins vrai que c’est la musique de Carmen et la musique seule qui est connue dans le monde entier, et il est irréfragable que celle-ci transcende les idées de race, de religion, de politique, de féminisme et de machisme. Carmen la musique, la poésie, de laquelle on ne peut se passer. Il ne le sait que trop bien José qui hurle du début à la fin : « Carmen, je t’aime… Ma Carmen adorée ».

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mai 23, 2019 By MLC

Les Roses du marais de Luca Tahtieazym

Les Roses du marais de Luca Tahtieazym

Bien que la poésie de la couverture puisse le faire supposer, Les Roses du Marais de Luca Tahtieazym n’a rien, mais alors rien, à voir avec Les Roses d’Ispahan de Claude Anet (1906) si ce n’est les deux premiers mots du titre. Petite précision au cas où des lecteurs ses seraient dit « Ah, tiens les roses! Cela me rappelle quelque chose. »

Bref, un roman sombre comme la boue du marais poitevin où l’action se déroule dans une intrigue en quatre parties. Une pour chaque personnage principal, mais pas exactement. Agathe ouvre le bal – si l’on peut dire, car c’est précisément l’absence de ce divertissement qui lui donnera envie de fuir. Agathe, jeune bourgeoise mariée à un homme plus âgé, mais aisé, s’ennuie donc prodigieusement auprès de son époux et prend un amant. Une situation ordinaire en littérature, mais contée avec brio par l’auteur dans une belle parodie de style dixneuvièmiste au point de laisser la belle Agathe se qualifier elle-même comme souffrant de bovarysme. Si le lecteur n’avait pas encore saisi l’allusion, le voilà averti maintenant. Mais qu’il n’échafaude surtout pas des entrelacs à la Flaubert avec Agathe marchant dans les pas d’Emma, il en serait pour ses frais. Non, son destin est infiniment plus complexe. Retenez seulement que la plume de Luca Tahtieazym jaillit en gerbes d’étincelles et embrase ce portrait au pastel.

Puis, il y a Angus, le molosse. Un pétrousquin aux sentiments délicats, croqué à gros traits à la craie grasse aux couleurs chatoyantes dans un délire de vocabulaire pedzouille contrastant à merveille avec celui de la belle Agathe. Un mousquetaire armé d’une bêche pour qui l’amitié se révèle le bien le plus précieux.

L’agréable surprise vient de Monjhette, le corniaud. Un bâtard philosophe conscient de sa place et de ses limitations. Une esquisse légère au fusain qui consiste en ses pensées et reflète une tout autre perspective, on s’en doute.

Quant à Achille, le mari d’Agathe, l’auteur le brosse, à la gouache épaisse, en quatrième position dans la structure de son récit. Un homme amouraché de l’amour, amant des roses, ami d’Angus et amoureux de son marais poitevin comme seul celui qui y est né peut l’être.

Amour, fidélité, loyauté, trahison et serments s’entrelacent et s’entrechoquent dans ce roman au clair-obscur digne d’un Caravage. Avec Les Roses du marais, Luca Tahtieazym a placé la barre très haut et il la survole avec l’aisance d’un champion.

Luca Tahtieazym, Les Roses du marais, sur Amazon version brochée et numérique: https://amzn.to/2Esw3DX

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mai 8, 2019 By MLC

« Perdition » d’Alexis Arend

« Perdition » d’Alexis Arend
Bonjour tout le monde,
Aujourd’hui je veux vous parler du livre d’Alexis Arend Perdition.
C’est le livre le plus extraordinaire que j’ai lu ces dernières années. Ce ne sont pas des paroles vaines. Dans mes mauvaises semaines, je lis deux trois livres ; dans mes meilleures, cinq six, plus si affinités.
 
Perdition est un livre dont la structure est absolument prodigieuse. C’est un livre symphonique aux thèmes incroyables qui se développent sous vos yeux au fur et à mesure sans que vous les voyiez immédiatement. Chacun de ces thèmes se détachent bien distinctement des autres et cependant, il se fond en eux pour arriver à l’accord final.
 
Je ne vous ferai pas l’injure de vous dire que c’est un livre coup de poing ou un livre dont on ne sort pas un indemne. Non. Mais je vous dirai : c’est un livre enrichissant.
L’auteur a une immense connaissance de la nature humaine et il sait l’écrire. C’est un livre empreint d’une compassion extraordinaire qui révèle les moindres recoins de l’âme humaine. Les personnages, d’une vérité poignante, restent dans leur rôle d’un bout à l’autre du roman, mais quel rôle, nom de ma mère !
Ce n’est pas un livre avec une fin extraordinaire, vous savez l’un de ces rebondissements qui vous surprennent dans les dernières pages. Non, c’est un livre avec des paragraphes merveilleux, des phrases sensationnelles, un vocabulaire riche ; un livre solide comme un roc qui vous fait rire et pleurer tour à tour. Chaque page contient son lot de surprises. Bref, c’est un livre immense, un livre incommensurable, un livre dont on se souviendra longtemps.
Ce livre, c’est une nouvelle étoile au firmament littéraire.
Ce livre, vous devez le lire impérativement ! Lisez-le maintenant ! Tout de suite ! Séance tenante !

Les mots de l’éditeur :

« Le long de la mythique « Mother Road », au gré des rencontres, le hasard les a rassemblés…

Une poignée d’hommes et de femmes qu’un même but anime : tromper leur destin tragique.

Dans une station-service au milieu de nulle part, leurs chemins se croisent pour un face-à-face inattendu avec un redoutable criminel en fuite, Denton Foley, échappé du « couloir de la mort ».

La confrontation avec ce meurtrier glacial et implacable bouleversera à jamais leur sort, qu’ils croyaient scellé.

Qui est réellement Denton Foley ? Que réserve-t-il à ces êtres à la dérive, à qui la vie n’a accordé aucun répit ?

Le salut existe-t-il pour les âmes en perdition ? »

Alexis Prend, Perdition, sur Amazon

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mars 31, 2019 By MLC

Crime à la Sorbonne : Crime à l’international

Crime à la Sorbonne : Crime à l’international

Sortie le 19 avril  : Crime à la Sorbonne 

Dans la série « Crime à l’international »

Le corps de Camille Béranger est retrouvé dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne. Kévin Romain, son petit ami, a-t-il commis ce crime après avoir  eu un accès de fureur lors de leurs nombreuses disputes ?

Lemoine et Chaboisseau mènent l’enquête assistés de Lacombe, Lafarge et supervisés par le commissaire Lefevbre. Plusieurs suspects semblent avoir le profil adéquat, mais un seul peut être l’assassin. Qui est-ce alors ? Kevin ? Cet homme en chaussettes est-il réellement celui qu’ils recherchent ? C’est ce que les inspecteurs devront découvrir.

Le commissaire Lefevbre optait pour l’amphithéâtre comme lieu du crime. Avec les nombreuses allées et venues dans les corridors, peu probable que le meurtre fut passé inaperçu. D’un autre côté, les cours se terminaient à quinze heures ce jour-là et la plupart des étudiants s’étaient dispersés tout de suite, quelques-uns vers la bibliothèque. La cafétéria du Crous était fermée à partir de trois heures ; aucun ne s’y était attardé, exception faite d’un petit groupe qui avait quitté les lieux vers seize heures. Quoi qu’il en soit, personne n’avait rien noté d’anormal. D’autre part, le manque de traces de lutte sur le corps indiquait que la victime connaissait son agresseur. Tous les indices penchaient en défaveur de Kevin Romain.

La pièce était comme à l’accoutumée baignée à outrance par les rayons crus des néons. Le commissaire affirmait que sa lampe de bureau éclairait trop peu, que cela produisait des ombres gênantes qui le distrayaient pour la lecture des documents, bref, qu’il préférait la clarté à la pénombre. Les inspecteurs Lemoine et Chaboisseau, présents dans la pièce, se seraient bien passés de cet aveuglement disproportionné d’autant plus que le commissaire aurait pu se contenter d’ouvrir les stores. 

Retrouvez les personnages de Crime à Paris, Crime à Moscou, Crime à l’université et Crime à Amsterdam dans Crime à la Sorbonne :  Chloé et Eliane Vermont, Manon Lemonnier, Lucas Simon, Tina Blanchard, Xavier Laroche, Madame Céleste, Maria van Bar, Magalie, Professeur Song, Joost van Dam, et bien d’autres encore.

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