mai 18, 2022 By MLC

Carmen, Georges Bizet, Prosper Mérimée

CarmenCarmen est devenu un concept aussi bien pour des chanteurs du Bolchoï de Moscou, une association d’amateurs à New-York ou les prisonniers d’une maison d’arrêts à Rueil-Malmaison. Il est possible d’assister à la représentation d’un opéra et de s’adonner au plaisir des sens sans se poser une seule question, mais cet ouvrage est conçu pour appréhender une fraction des structures et des mécanismes inhérents à cette forme d’art complexe sans autre prétention que de soulever un coin du voile.
Dans un grand nombre d’articles de journaux, de magazines mais également dans des reportages professionnels, Carmen est souvent mentionné comme étant l’opéra français le plus connu. Est-ce bien vrai ? Cet opéra est-il représentatif de la culture française ? Quelles sont les différences entre la nouvelle de Mérimée et l’opéra de Bizet ? Quelques-uns des éléments qui fondent cette étude.

Ainsi Carmen personnifierait-elle l’Autre, insondable, dangereux, l’Ouvrier, la Femme fatale libre et menaçante pour la vie familiale, le Bandit. L’Autre, donc, qui doit être soumis sinon détruit ?
Serait-ce, dans ce cas, la raison pour laquelle José, ayant commis un meurtre avoué, aurait pu être absous en s’enrôlant dans l’armée et expier de cette façon son crime en liberté jusqu’à ce que retombe les remous du scandale déclenché par son geste, alors que Carmen, pour avoir distribué une balafre à l’une de ses collègues sera envoyée en prison ? Peut-on alors conclure que José représente l’establishment et Carmen les Autres ?
D’autre part, c’est tout autant, sinon plus, la provocation de Carmen à l’encontre de Zuniga qui la conduit linea recta en prison. Il est le commandant de son bataillon, comment pourrait-il laisser impuni le fait que Carmen le nargue devant toute la communauté ? C’est à regret qu’il prononce la sentence d’emprisonnement. Trois fois, Zuniga pose la même question à Carmen, trois fois, elle refuse de lui répondre alors qu’il aurait très certainement clos l’incident sans y attacher très grande importance. Quelques centaines de femmes ensemble dans un espace confiné, une chaleur étouffante, quelques mots vifs et les caractères s’enflamment. Pour lui, pas de quoi fouetter un chat, à plus forte raison envoyer l’une des femmes en détention. Ainsi Carmen, la personnification de l’Autre, entre-t-elle en conflit avec l’establishment représenté non pas par José mais, de toute évidence, par Zuniga.
On peut lire Carmen comme l’opposition de deux cultures : l’une dominante et l’autre dominée. Il est également irréfutable que l’on peut expliquer l’opéra politiquement en démontant un mécanisme mettant à nu les minorités opprimées ; bien entendu, il est tout aussi possible d’en extirper une lance féministe démontrant la misogynie. Toutes ces lectures sont possibles, plausibles et peut-être même sont-elles valables.
Il n’en reste pas moins vrai que c’est la musique de Carmen et la musique seule qui est connue dans le monde entier, et il est irréfragable que celle-ci transcende les idées de race, de religion, de politique, de féminisme et de machisme. Carmen la musique, la poésie, de laquelle on ne peut se passer. Il ne le sait que trop bien José qui hurle du début à la fin : « Carmen, je t’aime… Ma Carmen adorée ».

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mai 8, 2022 By MLC

Distinguer les types de personnages de roman

Les personnages sont des êtres fictifs inventés par l’auteur. Ils existent dans le roman, mais aussi dans les films ou les pièces de théâtre. La notion de personnage a évolué au fil du temps. Les personnages d’un roman sont majeurs ou mineurs. On les appelle principaux ou secondaires. Cela dépend du rôle qu’ils jouent dans l’intrigue.

Les personnages principaux :

Ces personnages, les plus importants du roman, sont décrits en profondeur et autour d’eux tourne l’intrigue. Leur développement psychologique est important et ils subissent le plus de transformations au cours de l’histoire ou ils contribuent activement au changement d’un autre personnage principal. C’est avec La Princesse de Clèvesque l’héroïne s’épaissit d’une dimension psychologique.

Les deux personnages principaux dans la fiction sont le protagoniste et l’antagoniste. Dans le polar, ce sera, par exemple, le tueur en série et l’enquêteur qui le traque. Dans une romance, ce sera le héros et l’héroïne, qui ne resteront pas nécessairement sur un pied d’antagonisme.

Les personnages secondaires :

Ces personnages n’ont pas la même profondeur que les personnages principaux. En règle générale, ils sont statiques et ne changent pas beaucoup ou pas du tout au cours de l’histoire. Idéalement, ils créent les circonstances du développement psychologique et de la transformation d’un personnage principal.

Les différents types de personnages

* Les mentors : les personnages qui enseignent ou entraînent le personnage principal.

* Les excentriques : des personnages qui suivent leurs propres règles

contraire aux attentes de la société (ex: un millionnaire avare,

celui qui porte des chandails en été). Ces personnages sont fréquemment attachants par une excentricité qui les rend vulnérables et inaptes à vivre en société.

* Les personnages modèles : qui servent à l’auteur à définir un type de société.

* Les personnages clichés : les personnages aux caractères stéréotypés

comme le méchant psychotique, la belle-mère malfaisante, que tout auteur essaie d’éviter. Toutefois, ils sont utilisables lorsqu’ils représentent une valeur, un conflit, ou un fil thématique. Dans ce cas, on leur donne un caractère typique.

* Les petits personnages : des suspects, des collègues, des voisins, des personnes

dans la rue, etc. Ils peuvent aussi avoir une bizarrerie spéciale ou un attribut pour les rendre intéressants. Le but principal de leur utilisation est de créer un univers crédible.

* Les psychopathes : ils semblent normaux à leur entourage, mais le lecteur sait tout de suite qu’ils ne le sont pas.

* Les personnages sacrificiels : ils sont tués pendant l’histoire ou bien avant. Par exemple, la victime dans le polar.

* Les personnages mémorables : ils ont au moins un trait de caractère dont on se rappelle ou bien ils performent une action sortant de l’ordinaire.

* Les personnages phobiques : des personnages avec une peur persistante et  irrationnelle d’une chose ou d’une situation spécifique qui les gêne dans la réalisation de leur vie quotidienne.

Les fonctions des personnages

* L’allié : Celui à qui le protagoniste demande de l’aide et qui la lui donne.

* Le faux allié : Le protagoniste croit que c’est un allié, mais il ne s’occupe que de ses propres intérêts.

* L’adversaire : il veut empêcher l’héroïne ou le héros d’atteindre son but

* Le faux adversaire : il semble travailler contre le protagoniste mais en réalité il  est de son côté. Le lecteur croit qu’il est un adversaire mais ses actions font gagner le héros.

* Les révélateurs : des personnages qui révèlent les secrets des personnages principaux ; peut également faire des observations ou prédire comment un personnage majeur peut agir en fonction de l’histoire.

* Les personnages sacrificiels : montrent souvent la force du protagoniste, les enjeux de la situation, ou pour prévenir une information critique d’être révélée.

* Les petits personnages : ils sont là dans le but principal de créer une histoire crédible dans un univers possible.

* Le personnage miroir : reflète le protagoniste ou en montre une image inversée. Il commence dans une situation similaire, puis montre les effets positifs ou négatifs d’une certaine ligne de conduite

* Les testeurs : des personnages qui œuvrent sur les personnages principaux, habituellement, pour les inciter à agir d’une certaine manière. Il peut avoir des points de vue opposés – avec qui le personnage majeur s’alignera-t-il ?

* Le personnage accompagnateur : souligne les traits d’un autre personnage. Il sert souvent à faire ressortir la brillance, les défauts ou la croissance d’un autre personnage. Par exemple, Sancho Pança dans Don Quichotte.

* Le narrateur : fait des commentaires sur l’action et donne au lecteur des informations. Le narrateur ne doit pas être confondu avec l’auteur. C’est l’entité entre l’auteur et ses personnages.

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mai 4, 2022 By MLC

Comprendre le comportement du chien

Les problèmes de comportement des chiens sont souvent mal compris et mal traités par les propriétaires de chiens. Comprendre ces problèmes de comportement est la première étape pour les résoudre et les prévenir.

1. L’aboiement

La plupart des chiens aboient, hurlent et gémissent dans une certaine mesure. Un aboiement excessif est considéré comme un problème de comportement et il est nécessaire d’en comprendre la raison. Envisagez d’enseigner à votre chien les ordres aboyer / silencieux. Soyez cohérent et patient.

2. Le mâchonnement

Mâcher est une action naturelle pour tous les chiens. Cependant, cela peut parfois se transformer en un problème qui provoque la destruction de vos affaires et de vos meubles. Encouragez votre chien à mâcher sur les choses permises en lui fournissant beaucoup de jouets à mâcher. Gardez les objets personnels loin de votre chien. Si vous attrapez votre chien à mâcher une chose non permise, corrigez-le rapidement avec un bruit aigu de la voix ou par un terme approprié que vous utiliserez à chaque fois. Par exemple, « défendu ». Ensuite, remplacez l’objet avec un jouet à mâcher.

  1. Creuser

Si on leur en donne l’occasion, la plupart des chiens creuseront – c’est une question d’instinct. Déterminer la cause de l’excavation puis travailler pour éliminer cette source. Si le creusement est inévitable, mettez de côté une zone où votre chien peut creuser librement, comme une boîte de sable. Si vous le surprenez à creuser autre part, redirigez-le vers sa zone personnelle.

  1. La chasse

Le désir d’un chien de chasser des choses en mouvement est simplement un étalage d’instinct prédateur. Beaucoup de chiens vont chasser d’autres animaux, les gens et les voitures. Tout cela peut mener à des résultats dangereux et dévastateurs. Même si vous ne pouvez pas empêcher votre chien de poursuivre ce qui passe à sa portée, vous pouvez prendre des mesures pour éviter les catastrophes.

  • Gardez votre chien en laisse en tout temps (sauf s’il est surveillé directement à l’intérieur).
  • Entraînez votre chien à venir lorsqu’il est appelé. Le rappel est un des ordres les plus importants.
  • Restez vigilant et surveillez les déclencheurs potentiels, comme les chats, les bicyclettes, les voitures ou les enfants qui courent.
  1. Les sauts intempestifs

Un chien qui saute sur les personnes peut être dérangeant et même dangereux. Pour lui, sauter est souvent un comportement d’enthousiasme. Votre chien est content de vous voir après une absence ou bien il est curieux et heureux de voir des invités. Parfois, il suffit de vous détourner et d’ignorer votre chien. Quand il se détend et reste immobile, récompensez-le calmement. Cela est loin de toujours fonctionner. Personnellement, j’ai appris à mes chiens à ne pas nous sauter dessus en leur parlant et en demandant : »On se calme » accompagné d’une friandise. Cela fonctionne parfaitement. Maintenant, à chaque visiteur, ils s’asseyent dans un des fauteuils et attendent sagement une récompense.

  1. La morsure

Les chiots mordent les autres chiens et les gens comme un moyen d’explorer leur environnement et d’apprendre leur place dans la meute. Les propriétaires DOIVENT enseigner à leurs chiots que les morsures ne sont pas acceptables. Les propriétaires peuvent aider à réduire la tendance de tout type de chien à mordre à travers une bonne formation, la socialisation et les pratiques d’élevage. Cela doit se faire en douceur en leur apprenant à mordre sur un jouet à chaque fois qu’ils essaient de le faire sur les jambes ou les mains. Il est préférable de ne jamais jouer avec un chiot ou un chien en lui permettant de mordre autre chose que ses jouets. En avoir un spécial sur lequel il peut tirer sur une extrémité et le propriétaire sur l’autre est le meilleur moyen de lui apprendre à ne pas mordre les gens.

  1. L’agression

Le chien démontre son agression en grondant, hargneusement, en retroussant les babines et en montrant les dents, en sautant en avant et en mordant. L’agression canine peut devenir un problème sérieux. Si vous avez laissé les choses en venir là, il est préférable de consultez votre vétérinaire pour voir s’il y a un problème de santé sous-jacent. Sinon, demandez l’aide d’un dresseur de chiens expérimenté.

© photo: Ialta

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mai 1, 2022 By mlc

Versus, Luca Tahtieazym

Black gloved hand holding a bloody knife.

Avec Versus, Luca Tahtieazym réitère l’exploit dont il est coutumier : offrir à ses lecteurs un moment de lecture inoubliable. Dans L’Ombre, il érigeait le portrait d’un chauffard alcoolique s’immisçant dans la vie de l’homme qu’il avait percuté, dans Versus, il s’agit d’Achille, un commercial psychopathe qui sillonne la France en quête de ses proies.

« Je suis face à mon miroir. Dans une dizaine de minutes, je serai un autre. Je vais gommer ma classe naturelle pour revêtir l’aspect rudimentaire du primitif qu’affectionnent les policiers. Je vais cesser de surveiller mon langage et me permettre de le fleurir un brin. Je ne suis pas un acteur mais dans mon métier, on doit s’adapter à son client et corriger ses manières. C’est ce que je vais faire.

Le type en face de moi, dans le reflet, est un homme raffiné, avec quelque chose d’aristocratique dans le maintien. Il a la cinquantaine passée mais en paraît sept ou huit de moins. Dégarni, ses cheveux blancs sont coupés très courts, presque rasés ; cela masque la calvitie qui le menace. Ses joues broussailleuses se déforment lorsque les rides provoquées par son sourire un brin espiègle apparaissent. Il y a une classe, une distinction certaine qui se lisent sur les traits de son visage. Il est grand et svelte. On jurerait que c’est un sportif aguerri mais ce n’est pas le cas. Sa vie est trépidante et il se déplace volontiers mais n’a ni le temps ni la volonté de pratiquer une activité sportive régulière. Cet homme, je le connais bien. Il dissimule une part d’ombre et je mets quiconque au défi de la découvrir. Un être extraverti, cultivé, brutal : moi. »

Luca Tahtieazym confronte le lecteur aux pensées de son tueur et ce dernier en devient extrêmement sympathique. Pas de détails gores éclaboussant les pages, mais des égorgements traités avec subtilité. Le tueur s’adresse au lecteur avec une verve haute en couleur, le prend à partie et lui transmet la liste complète de ses travaux exécutés magistralement.

Ni palette ni pinceau pour lui. La seule couleur affectionnée est le vermillon carminé du sang de ses victimes. Mais attention, il ne le fait pas comme n’importe quel assassin en barbouillant les murs de leur sang. Sa technique est nettement plus raffinée, car Achille est un véritable esthète et Patrocle, son fidèle ami, un exécuteur délicat. Fervent connaisseur des grands noms de la littérature, il cite ses classiques avec autant d’aise qu’il mène grand train, profite des crus millésimés, fume des cigares de marque et dîne aux meilleures tables.

Armé d’une intelligence hors du commun, il dupe les services de police pendant des années. Toutefois, le jour où un copycat fait son apparition, son monde se fissure. La fin surprenante, dont nous ne soulèverons aucun voile, est amenée avec le brio caractéristique de l’auteur.

Sans aucun doute, Luca Tahtieazym a commis avec Versus un thriller d’exception, rejoignant ainsi les maîtres du genre.

Luca Tahtieazym, Versus, sur Amazon version Kindle et papier

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avril 30, 2022 By mlc

Elen Brig Koridwen, S’en sortir, c’est possible (t. 1)

S'en sortir 1Que penser de cette « expérience vécue » d’Elen Brig Koridwen précédé de citations d’Alain (Celui qui attend son bonheur comme il attend le soleil ou la pluie, attendra longtemps), de Goethe (Quoi que tu rêves d’entreprendre, commence-le) et Crébillon père (Le succès fut toujours un enfant de l’audace) – pour autant que le lecteur d’aujourd’hui à qui s’adresse cet ouvrage ait connaissance de ces écrivains du passé –, citations donc accompagnées d’une phrase nommée « Conviction personnelle de l’auteur » (… Et ne parlons pas de celui qui l’attend des pouvoirs publics). Ce qui est attendu dans cette dernière phrase est laissé au choix du lecteur. S’agit-il du bonheur d’Alain, du rêve de Goethe, du succès de Crébillon ?

Après cette débauche de name dropping (« lâcher de noms »), Elen Brig Koridwen déclare de but en blanc: « Je suis apolitique. Je détesterais avoir le moindre rôle dans ce domaine. » Voilà qui est pour le moins curieux pour qui lit la suite de ce pamphlet politique d’une rare virulence dont les attaques contre l’Etat n’a d’égal que leur naïveté. Les suggestions politiques se succèdent à un rythme effréné, mais ce qui en est de leur application est laissé dans le néant.

Ce procédé – de se dire apolitique tout en faisant de la politique le fer de lance de son ouvrage – rappelle Annie Ernaux. Cette dernière prétend dans La Honte ne pas faire de littérature et éviter de dramatiser les situations, mais l’incipit débute ainsi: « Mon père a voulu tuer ma mère un dimanche de juin, au début de l’après-midi. » S’ensuit la description d’un drame de violence conjugale pas piqué des hannetons ! De la littérature donc et du drame, c’est clair.

Dans la même veine de déclaration contradictoire d’un auteur envers ses écrits et sa position littéraire, nous pourrions également citer George Sand dans Histoire de ma vie : « J’ai toujours trouvé qu’il était de mauvaise goût non seulement de parler beaucoup de soi, mais encore de s’entretenir longtemps avec soi-même. ». Pas mal non plus comme introduction aux quelques milliers de pages autobiographiques en plusieurs volumes.

En sa manière de présenter son récit, l’auteur se révèle proche de Sand et Ernaux. Toutefois, il est difficile de savoir si la suite remplira ses promesses, car il s’agit du premier volet d’une série qui s’annonce comme le témoignage d’une femme se disant « libérale sociale ». Au temps pour l’apolitisme !

« Tout est politique » disait Sartre. En définitive, Elen Brig Koridwen ne dit pas autre chose. Et c’est probablement tant mieux !

Les lecteurs – qui ne connaissent pas encore cette auteur – pourraient commencer la rencontre avec Zone franche, un roman merveilleux ou s’ils disposent de peu de temps lire les Apéribooks™ et particulièrement Une proie sans défense, L’Homme de l’ombre ou A l’encre de sang. Ils ne seront pas déçus.

Elen Brig Koridwen, Une expérience vécue : réussir en aidant les autres: Préliminaires (S’EN SORTIR, C’EST POSSIBLE t. 1),  Amazon

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